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Le célèbre site de vente aux enchères de particulier à particulier eBay, très connu pour ses bonnes affaires mais aussi pour ses nombreux produits plus que douteux, vient d'être traîné en justice par le bijoutier Tiffany.
Après plus de trois ans d'enquête, le procès opposant le joaillier new-yorkais Tiffany et le site eBay vient enfin d'être ouvert le mardi 13 novembre dernier, avec à la clé une possible jurisprudence sur les contrefaçons sur les sites d'enchères en ligne. Les premières plaintes du bijoutier datent de 2004. L'enquête aurait prouvé que seuls 5% des produits estampillés Tiffany sur eBay étaient des vrais.
Depuis 2004, les arguments n'ont pas beaucoup varié, l'un réfutant toujours que son site est truffé d'annonce de prévention contre la contrefaçon et d'avertissements divers et variés et que toute contrefaçon détectée et immédiatement supprimée, l'autre clame haut et fort que ce n'est pas à lui de traquer les contrefaçons vendues sur le site d'eBay.
eBay est en bien mauvaise posture, bien que sa situation lui vaille le fait que, il est vrai, il ne peut que limiter légèrement la vente des contrefaçons parmi les milliers de ventes effectuées via sa plate-forme, les quelques 400 procès d'entreprises de l'Union des fabricants, de L'Oréal, Hermès et LVMH ne jouent pas en sa faveur, et l'industrie du luxe pourrait bien finir par avoir sa peau... ou du moins à parvenir à une forme de jurisprudence très attendue dans le domaine.
Source : gizmodo.fr